Endométriose : sortir de la douleur !

L’endométriose est une maladie encore peu connue, qui est pourtant très difficile à vivre. Du diagnostic à la prise en charge, c’est souvent un parcours du combattant auquel les femmes qui en souffrent sont confrontées. Quels sont les symptômes ? À qui s’adresser pour un diagnostic ? Comment soulager les douleurs ? Quelle place pour les médecines complémentaires ? Ce sont les questions auxquelles répond Marie Troubé, naturopathe.
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Endométriose : sortir de la douleur !

Marie est naturopathe et elle s'intéresse aux douleurs chroniques. En complément du suivi médical, elle intervient pour redonner aux femmes du pouvoir sur leur corps. Une démarche qui s'applique à l'endométriose. Cette maladie n'a pas de traitement spécifique, mais on peut apprendre à atténuer les symptômes et mieux gérer la douleur. Un podcast plein d’espoir, proposé par Fess’nett. 

Je m'appelle Marie Troube, je suis naturopathe, je suis spécialisée dans l'accompagnement du féminin. 

L'endométriose se définit comme la présence, en dehors de la cavité utérine, de tissus semblable à la muqueuse utérine. Ce tissu-là va donc subir tous les cycles, les fluctuations hormonales et les modifications hormonales. Aujourd'hui, on parle vraiment de trois types d'endométriose. On ne parle plus de stade. 

  • On a tout d'abord l'endométriose superficielle. Donc là, en fait, on a un implant d'endomètre à la surface du péritoine. Le péritoine c'est l'enveloppe qui entoure les viscères et les organes pour les protéger. 
  • L'endométriose ovarienne qui se caractérise par un kyste sur l’ovaire d'une couleur marron. 
  • Et on a ensuite l'endométriose pelvienne profond. Ce sont des lésions qui viennent s’infiltrer en profondeur. On les retrouve notamment sur les ligaments utéro sacrés, le cul de sac vaginal, les intestins, le rectum, la vessie, le côlon et même parfois, on en trouve au niveau du poumon. Ça remonte énormément. 

À noter qu'il n'y a vraiment pas de corrélation entre l'intensité de la douleur et le type l'endométriose. Les endométriose superficiels peuvent même être extrêmement douloureuses parce qu'elles viennent toucher des nerfs. Chaque endométriose est différente, à tel point qu'on a même des endométriose silencieuses où pour le coup, on n'a pas de symptômes et on vient vraiment découvrir son l'endométriose un peu au hasard d'un bilan de fertilité, par exemple. 

Selon l'Inserm, il y a quand même 10% des personnes possédant un appareil génital féminin qui sont touchés par l’endométriose, donc quand même une personne sur dix au minimum. Je dis au minimum parce que forcément, il y a beaucoup d'endométriose qui ne sont pas encore diagnostiquées. En moyenne, on met sept ans à se faire diagnostic une l'endométriose. Et aujourd'hui, malheureusement, il n'existe pas de traitement spécifique pour cette maladie.

Les parcours d'endométriose sont vraiment divers et variés. Certaines personnes ont la chance d'être diagnostiquées assez vite parce qu'elles tombent directement sur la bonne personne qui va vraiment se dire « Ok, là, il y a telle et telle douleurs. Il y a douleur au moment des règles, douleur au moment du rapport sexuel pénétratif. On a des troubles digestifs. » On a toutes ces choses là donc directement on va aller faire les examens qu'il faut et on va regarder. Mais à côté de cela, il y a des personnes qui sont en errance médicale parce qu'on va se retrouver face, parfois, à du personnel médical qui n'est pas formé, tout simplement, et qui va rétorquer à ces personnes là : « C'est normal d'avoir mal pendant tes règles. On n'en sait rien du tout. Tiens, prends la pilule et puis voilà. » Et ça, malheureusement, ça vient repousser encore et encore et encore le diagnostic et la prise en charge.

Sachant qu'en plus, il faut comprendre que quand on est atteint de l’endométriose, pour prendre un rendez vous médical il faut le prendre parfois un mois, trois mois, six mois en avance, c'est très long. Pour peu que le jour du rendez vous médical, on soit dans l'incapacité d'y aller parce qu'en fait, on fait une crise, on doit repousser le rendez vous. On y retourne. Etc. En fait, tout ça, c'est beaucoup d'énergie. On y va. On nous dit « Non, c'est dans ta tête. Il ne se passe rien. » Au bout d'un moment, il y a un découragement. Et puis ça a un coup aussi tout ça. À chaque fois qu'on nous réoriente vers un spécialiste, faire une échographie, etc. Ça peut vraiment être très, très long et surtout si on ne tombe pas sur les bonnes personnes on peut vraiment sentir hyper abandonnée.

Alors, au niveau des symptômes, on a pour habitude de dire qu'il n'y a pas une endométriose, mais des endométrioses. C'est parce que chaque l'endométriose est différente. Après le symptôme principal, clairement, c'est la douleur. On va avoir une dysménorrhée donc des douleurs pendant les règles, dyspareunie donc douleurs pendant le rapport sexuel, pénétratif, des douleurs pelviennes, des douleurs lors de la défécation, des difficultés à uriner, des douleurs abdominales, troubles digestifs, vomissements, perte de connaissance, infertilité, fatigue chronique aussi. On l’oublie pas mal mais elle est bien là. Sciatique, lombalgie également. 

Et clairement, dans la majorité des cas, ces douleurs là sont invalidantes. Elles entraînent une incapacité pendant plusieurs jours, voire en continu, parce que la douleur va venir au moment des changements hormonaux. Donc, ça veut dire, au moment de l’ovulation, à l’approche des règles et pendant les règles. Ce qui veut dire qu'en fait, on a plusieurs jours pendant l'ovulation ou on souffre. On a peut être une fenêtre de quelques jours où ça va à peu près. Et ensuite, on tombe directement dans la phase prémenstruel où on souffre. Pendant les règles, on souffre. Et après, on a de nouveau une petite phase, potentiellement, où ça va un peu mieux, mais on peut aussi souffrir tout le temps. 

Ça peut différer déjà de mois en mois. Il y a des mois où ça peut à peu près à ou pas du tout. Parfois, ça peut aller aussi en croissance, c'est à dire que chaque mois, c'est pire. Et après, les symptômes diffèrent vraiment d'une personne à une autre, c'est pour ça que la prise en charge est compliquée et que le diagnostic est si compliqué encore.

Quand on pense souffrir d'endométriose ou quand on souffre d’ailleurs, plus largement, le ou la médecin généraliste, gynéco ou sage femme est en mesure de pouvoir orienter le diagnostic lors de la consultation, c'est à dire qu'on va venir se plaindre de douleurs de règles, de douleurs pendant les rapports sexuels, de troubles digestifs, urinaires, de saignements anarchiques. Et là, le professionnel ou la professionnelle va vraiment pouvoir orienter ensuite vers des examens complémentaires. Dans un premier temps, ce sera échographie, IRM, hysterographie. Après, pas de panique. Bien heureusement, toutes les personnes qui souffrent pendant leurs règles ne sont pas atteinte d’endométriose. Mais ce qui est sûr, c'est qu'il faut pas hésiter à allez consulter. 

Pour trouver des professionnels pour vous accompagner là dedans, on peut trouver des listes de ces personnes qui sont vraiment reconnues, compétentes pour l'endométriose. Notamment, je pense au site Endo France, vous pouvez contacter l'association directement et elles vont vous réorienter vers un ou une spécialiste près de chez vous. Vous avez aussi le site du Lab de l’Endo, qui propose en fait un annuaire de professionnels qui peuvent vous accompagner une fois le diagnostic posé. Bien sûr, vous avez des naturopathes, mais vous avez aussi des ostéos, des kinésios, des profs de yoga, de la médecine chinoise, des sexologues, etc.

Ça permet de gagner en temps et aussi en confiance parce que ces professionnels sont validés par ces assis là. C'est hyper important, après le diagnostic, de se faire accompagner par les médecines complémentaires. On a un vrai impact dans la qualité de vie, dans le confort et dans la gestion de la douleur. Car je e le rappelle, il n'y a pas de traitement médical pour cette maladie, donc il faut vraiment penser à ces médecines complémentaires là. 

Il faut savoir que déjà, dans un tiers des cas, l'endométriose est superficielle. Ça veut dire que l'accompagnement de ces médecines complémentaires là va vraiment permettre de trouver un équilibre et de regagner une qualité de vie qui permettra après de stabiliser, de diminuer les symptômes.

Lorsque l'endométriose, pour le coup, est sévère, le suivi médical est nécessaire pour une prise en charge qui va être personnalisée et adaptée. Concernant les traitements médicaux, on va avoir le traitement hormonal qui va arrêter les règles. On va avoir également un traitement hormonal qui va déclencher une ménopause artificielle. Ensuite, le traitement chirurgical. Dans tous ces cas-là, de toute façon, la naturopathe va vraiment venir accompagner la maladie, peu importe le choix du traitement. 

Dans un premier temps, pour accompagner cette pathologie là et le traitement choisi, on va déjà travailler sur l'environnement pour agir sur le l'épigénétique. Pour faire simple, l'épigénétique, c'est la variation de l'activité des gènes qui va être induite par l'environnement extérieur. C'est la part, en fait, qui est réversible de notre génétique. Il y a beaucoup d'études aujourd'hui qui existent là dessus et c'est vraiment un levier hyper important pour beaucoup de pathologies d’ailleurs. 

Pour agir sur ça, on va faire la chasse aux perturbateurs endocriniens, aux ondes électromagnétiques, les emballages plastiques divers en tout genre, les cosmétiques, les produits ménagers, les protections périodiques, l'eau filtrée aussi (l'eau du robinet qui est polluée), parce que ces perturbateurs endocriniens là viennent troubler notre système endocrinien, soit en prenant sa place, soit en rajoutant des hormones à notre corps. Donc, déjà, on a vraiment beaucoup travaillé là dessus. 

Ensuite, dans l’endométriose on a, la plupart du temps, une problématique d'hyperœstrogénie. Donc, on va venir accompagner cette hyperœstrogénie là, notamment par la détox hépatique, la perte de poids si nécessaire (parce qu'en face, il faut savoir que les œstrogènes sont fabriqués en partie par le tissu adipeux. Donc, quand on en a trop, c'est important de travailler à perte de poids), et le rééquilibrage œstrogènes progestérone, parce que quand on parle d'hyperœstrogénie, en réalité, soit il y a trop d'œstrogène soit il y a normalement de l'œstrogène, mais en fait la progestérone qui est censée faire l'équilibre de ces d'œstrogène, il y en a pas assez. On appelle ça l'hyperœstrogénie relative un manque de progestérone. Donc on va venir rééquilibrer ça. Ici on travaille principalement déjà sur l'assiette pour la perte de poids éventuel, mais aussi la résistance à l'insuline. On accompagne avec la micro nutrition pour venir soutenir la désoxhépatique et également avec la phytothérapie, pour rééquilibrer les hormones.

Ensuite, on a un autre axe qui est très important, c'est la gestion de l'inflammation et de l'oxydation. Parce que quand il y a inflammation, il y a oxydation et l’endométriose c'est une pathologie très inflammatoire. Donc là, on va vraiment venir mettre l'accent sur les oméga 3, les oméga 6, les petits poissons gras qui sont très riches en acides gras, précurseurs de prostaglantines qui sont aussi anti-inflammatoires. Et on va venir diminuer, en parallèle, les produits pro-inflammatoires, par exemple les produits laitiers, le gluten, les hautes cuissons, ce genre de choses.

On a aussi un accompagnement émotionnel qui est hyper important, par la phytothérapie, l’aromathérapie, la visualisation positive, les postures de yoga, la reconnexion à son féminin blessé aussi. Je crois que c'est très très important de placer la sphère émotionnelle vraiment au même niveau que le corps physique. Bien sûr, il faut éteindre le feu de la douleur, c’est indispensable. Mais l'impact de notre féminité blessée, son corps physique est hyper grand. Et c'est là d'ailleurs que les salles de parole, pour le coup, sont selon moi un outil extrêmement puissant de guérison.

Et ensuite, selon le traitement chois (s'il n'y a traitement choisi), on va venir accompagner cette prise de traitement médical. Donc, toujours la détoxhépatique, parce que quand on vient rajouter du médicament au travail du foie, il travaille encore plus. Donc on vient vraiment accompagner ça avec l’artichaut, le radis noir, le romarin, etc. Les troubles circulatoires s’il y a aussi avec la phytothérapie. Les effets secondaires de la ménopause artificielle : bouffées de chaleur, ostéoporose, dépression, sécheresse cutanée, muqueuse, etc. On vient vraiment avec la naturopathe en micro nutrition, dans l’assiette, avec la phytothérapie.. Dans tous les cas, là, je vous donne vraiment des clés globales. Mais, chaque accompagnement est différent encore une fois, parce que chaque endométriose, et surtout chaque personne, est unique. Donc vraiment, le but c'est d'avancer ensemble progressivement main dans la main, c'est individualisé et holistique. Vraiment, on s'adapte à la personne et à sa vie. C'est le plus important. 

La naturopathie, au même titre que beaucoup de médecines complémentaires, a un vrai impact sur la qualité de vie parce qu’on vient vraiment travailler en complémentarité avec la médecine allopathique et avec la médecine classique qui vient soigner les symptômes, qui va essayer de trouver un traitement, qui essayer d'arrêter la progression de la maladie. Les médecines complémentaires, elles, viennent travailler de façon générale, de façon globale, de façon holistique et on vient prendre en compte l'entièreté de la personne. On ne va pas du tout se concentrer sur les symptômes. On va essayer de comprendre d'où ça vient. C'est pour ça que je parle aussi de sphère émotionnelle. Et on va venir travailler sur l'hygiène de vie, la gestion du stress, le sommeil, l'alimentation. Tout ça, c'est vraiment des facteurs qui vont être inflammatoires, qui vont venir dérégler notre système hormonale.

L’alimentation a un fort impact dans la gestion de la douleur inflammatoire et donc dans la gestion de l'endométriose. Et ça, c'est vraiment complémentaire à plein d’autres techniques. C'est hyper important que les personnes atteintes d'endométriose s'écoutent et aillent vers des choses qui leur conviennent pour le coup.

Moi, je vous parle de naturopathie, mais l'ostéopathie va avoir beaucoup d'impact aussi. La sophrologie, les postures de yoga, la kinésiologie, l'acupuncture, la sexologie. Il y a énormément d'outils qui peuvent correspondre et il n'y a pas un outil qui va être miracle. C'est vraiment en travaillant tous ensemble et en venant chercher les choses qui conviennent à la personne qu'on va pouvoir récupérer un mieux être et que la personne, surtout, va reprendre le pouvoir sur sa vie. C’est ça aussi la clé dans tout ça, c'est d’arriver à devenir proactif et ne pas se dire « Ok, je suis malade, je subis et je ne suis pas aidé par le personnel médical ». En récupérant son pouvoir et en disant « Ok, je suis maître et maîtresse de ma vie et je peux avoir une action qui n’est vraiment pas des moindres ». On vient récupérer ça, comprendre comment on fonctionne, se dire « Ah ben tiens, quand je mange ça ou quand je fais plus de sport ou quand je dors mieux, la douleur est moindre. » Venir noter également si la douleur s'arrête pendant l'ovulation, ou plutôt au moment des règles, ce genre de choses ça a un vrai impact et ça permet de retrouver toute sa puissance aussi avec cette maladie. 

Ce que je peux dire aux personnes qui sont qui sont atteintes d'endométriose ou du moins qui est suspect, déjà, c'est que vous n'êtes pas seul. C'est vraiment ce que je viens de dire juste avant, ce n'est pas normal de souffrir. On vous croit dans votre douleur et on va y arriver. On va trouver une solution. Je pense que c'est déjà hyper important de venir valider ça. Et au delà de ça, il faut en parler. Aujourd’hui, heureusement, on en parle de plus en plus pour que les personnes qui ne sont pas concernées aussi aient conscience de ça. L'endométriose est une maladie invisible. Ce qui veut dire qu'en fait, quand on voit la personne, on ne se dit pas qu’elle est malade. On ne se dit pas elle a une maladie qui va l'invalider. 

Donc, le fait d'en parler, que les gens qui ne sont pas concernés prennent conscience de ça déjà c'est hyper important. Parlez-en, ce n’est pas sale, au contraire. Le cycle féminin c'est magnifique, c'est sacré. Il ne faut pas en avoir honte. Il faut en parler haut et fort. C'est important aussi que l'entourage soit au courant de ce que vit la personne, que ce soit les amis, la famille, le ou la partenaire. Tout simplement parce que la crise de douleur peut arriver n’importe quand, on ne peut pas le prévoir. Ce qui fait que quand on a une soirée prévue, (je pense à la vie sociale, par exemple, qui peut être hyper compliquée quand on est atteint d’endométriose) il va y avoir plusieurs questions qui vont se poser. Est-ce que j'ai l'énergie pour y aller ? Est-ce que j'ai le courage d'y aller et de risquer de repartir à 22 heures parce que je suis fatiguée ou j'ai mal (Au risque d'avoir les réflexions classiques, qui ne sont pas malveillantes, mais de « tu pars déjà ? Reste avec nous. » et d'être obligée de se justifier. « Oui, mais en fait, je ne me sens pas bien, j'ai mal, etc.) ? Ça, ce n’est pas toujours compris par les personnes qui n'ont pas ce problème là. 

La famille aussi, qui peut être beaucoup dans le jugement. Je pense notamment à nos mère, nos tantes, nos sœurs, nos cousines. Elles peuvent réagir en disant « Ça va, moi aussi j'ai mes règles. » Ou même aux hommes, aux frères, aux pères qui peuvent être pas du tout dans ce truc là, qui n’ont pas du tout envie de parler de règles. Et c'est important aussi pour la famille d'être un soutien et pour le ou la partenaire aussi, d'avoir envie de s'informer sur la maladie, d'être accompagnant dans la sexualité, d’être accompagnant quand il y a des crises, de comprendre qu’il peut y avoir un impact. C’est tout bête, mais quand on est en train de faire une crise, qu’on nous amène une bouillotte, qu'on vienne nous amener des médicaments, etc. Chacune et chacun a ses petits rituels pour faire passer ça. C’est bien aussi, quand on ne peut pas se lever, d'avoir quelqu'un qui veut nous amener à des trucs pour nous soulager, c’est chouette. Faire un massage en bas du dos, etc. 

Que les gens soient au courant ça permet vraiment de se dire « Ok, en fait, je peux annuler quelque chose au dernier moment. Je peux partir d'une soirée sans avoir besoin de me justifier. » Je sais que je suis dans la bienveillance et dans l'accueil et je crois que ça, c'est vraiment hyper important. Et aussi de s’écouter, de se dire qu'il n'y a vraiment personne qui sait mieux que soi ce qui est bon pour soi.

Vous êtes légitime dans ce que vous traversez et si vous sentez que quelque chose vous fait du bien, alors faites le. Peu importe les les avis non sollicités et les jugements des autres. Ils ne sont pas à votre place. Vous êtes vraiment la seule personne à savoir ce qui est bon pour vous.

Donc écoutez-vous. C'est ok d’avoir mal, vous êtes légitime là dedans, et dans vos besoins, et dans vos choix.

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